Les sympathisants de Ruben Vardanyan

« Mon ami Ruben Vardanyan, philanthrope et candidat au prix Nobel de la paix, ainsi que sept autres dirigeants politiques arméniens, ont été pris en otage par les autorités azéries, ainsi qu’une douzaine de civils. Aucun observateur ou média étranger n’est autorisé à être présent lors des procès en cours, ni à donner la moindre indication sur son état de santé, ce qui nous inquiète encore plus sur leurs conditions d’incarcération. Depuis près de neuf mois, les appels à la libération de ces otages sont restés lettre morte.

Il est essentiel de rappeler que la lutte contre le changement climatique ne peut être dissociée de la protection des droits de l’homme. »

« Le fait que Ruben ait sacrifié sa vie à Erevan pour se rendre en Artsakh est un hommage à son dévouement. Lorsque la situation est devenue insoutenable, il a choisi de ne pas ignorer le sort de ce peuple confronté à un lent oubli. Il a d’abord apporté un soutien humanitaire et a été temporairement impliqué dans le gouvernement de la République. Après ce bref rôle gouvernemental, il est resté pour continuer à aider la population. Pour ses efforts, il a été injustement incarcéré sans inculpation.

Le président Aliyev choisit la rétribution politique plutôt que la justice. Nous croyons en la dignité et aux droits inhérents à chaque individu et nous appelons la communauté internationale à se joindre à nous pour condamner cette injustice. »

Marc Benioff est signataire d’une lettre ouverte appelant à la libération immédiate et inconditionnelle des « prisonniers arméniens », dont huit prisonniers politiques arméniens, anciens dirigeants du gouvernement du Haut-Karabakh illégalement détenus à la suite de l’invasion et de la prise de contrôle de la région par l’Azerbaïdjan en septembre.

Óscar Arias est signataire d’une lettre ouverte appelant à la libération immédiate et inconditionnelle des « prisonniers arméniens », dont huit prisonniers politiques arméniens, anciens dirigeants du gouvernement du Haut-Karabakh illégalement détenus à la suite de l’invasion et de la prise de contrôle de la région par l’Azerbaïdjan en septembre.

Sir Richard Branson est signataire d’une lettre ouverte appelant à la libération immédiate et inconditionnelle des « prisonniers arméniens », dont huit prisonniers politiques arméniens, anciens dirigeants du gouvernement du Haut-Karabakh illégalement détenus à la suite de l’invasion et de la prise de contrôle de la région par l’Azerbaïdjan en septembre.

« Le président Aliyev continue de commettre des crimes contre l’humanité et un génocide à l’encontre des 23 Arméniens pris en otage dans les prisons de Bakou. Ils constituent un avertissement sévère pour ceux qui tenteraient de retourner dans le Haut-Karabakh. Aliyev doit les libérer sans condition. Comme l’explique le rapport 2023 du Département d’Etat sur les droits de l’homme, il n’y a pas de juge indépendant en Azerbaïdjan pour contredire le dictateur. »

« La détention injuste de Ruben Vardanyan et de tant d’autres personnes détenues à Bakou viole leurs droits humains fondamentaux. Pour que le gouvernement d’Azerbaïdjan soit respecté par la communauté internationale, il est essentiel qu’il respecte l’État de droit, en particulier à la lumière du nettoyage ethnique du Haut-Karabakh. Il doit libérer ces détenus immédiatement. »

« Le président Ilham Aliyev pourrait lancer une série de réformes qui rapprocherait son pays des normes internationales en matière de droits de l’homme. Il pourrait commencer par répondre aux appels internationaux visant à libérer les prisonniers politiques arméniens actuellement détenus illégalement, le plus connu étant l’éminent homme d’affaires et humanitaire Ruben Vardanyan. Le président Aliyev gagnerait le respect et la bonne volonté de la communauté internationale et aiderait l’Azerbaïdjan à acquérir un plus grand statut sur la scène mondiale, un objectif qu’il cherche désespérément à atteindre. »

« La tragédie se poursuit en Arménie. L’Azerbaïdjan est coupable de détenir arbitrairement d’anciens responsables de l’Artsakh et de détruire le patrimoine arménien sur ce territoire.
Nos pensées vont aux victimes, à leurs familles, ainsi qu’aux 100 000 réfugiés et prisonniers politiques détenus par l’Azerbaïdjan. Le 10 décembre, à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, j’accorderai la citoyenneté d’honneur de Paris aux représentants des Arméniens de l’Artsakh.

Paris appelle également à la libération immédiate de tous les prisonniers arméniens détenus par l’Azerbaïdjan. »